Originally posted by arbrealettres le 28 juillet 2013
"Enfin te voilà, je t’attendais"
Au petit matin les murs se lézardent
- rien de ce qui tremble ne m’indiffère
Je sens les vibrations les secousses
j’attends la marque du divin
quelque chose comme "Enfin te voilà, je t’attendais".
- rien de ce qui tremble ne m’indiffère
Je sens les vibrations les secousses
j’attends la marque du divin
quelque chose comme "Enfin te voilà, je t’attendais".
(Alain Eludut)